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SI petite et si grande à la fois,
elle avançait doucement
vers son DIEU
par le chemin de la simplicité.
Boussole en main,
Pour une attention à toute la vie,
elle s’armait de convictions profondes
et de paroles éloquentes.
Je n’en suis pas encore revenue: durant toute cette 2e semaine du carême, spécialement les 1er, 4 et 6 mars, je me sentais enveloppée par les bras d’un Dieu aimant. «J’aime la maison que tu habites Seigneur», «Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d’amour».
Et tout à coup, voilà que Jésus est en colère, une vraie de vraie, il va jusqu’à faire un fouet avec des cordes et à chasser tout ce qui est dans le Temple. «Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce.» Ouf! Il y a de quoi trembler..
Offrir nos épaules
«Tes gestes parlent si fort que je n’entends pas ce que tu dis...» Malgré la pandémie qui s’étire, les feuillets du calendrier continuent leur envolée au rythme des saisons. Mars nous signalera l’anniversaire de la plus grande pandémie récente sur cette planète. Un an où tous les êtres humains de cette terre auront connu ou connaîtront les angoisses d’une mort provoquée par un ennemi infiniment petit. Tous en même temps... sans égard à la couleur de la peau, à l’âge, ou au continent... au même diapason. Mais la mélodie du malheur ne dégage pas les mêmes harmoniques pour toutes et tous. Ce phénomène universel nous a plutôt démontré les résultats monstrueux qu’il pouvait provoquer. Les femmes ont encore écopé des plus lourds fardeaux. La famille demeure la préoccupation des mères même si les pères ont fait de grandes avancées dans le partage des charges domestiques.
Voilà que ça dure. C’est quand même long, quarante jours.
Mais, j’essaie d’être plus juste dans mes jugements.
J’essaie de juger avec miséricorde, comme Jésus.
J’essaie d’aimer avec tendresse, comme Jésus,
les gens qui ne pensent pas comme moi.
Je veux marcher à la suite de Jésus.
Aide-moi, Seigneur, tu es si grand.
Que retenir de cette histoire un peu étrange pour notre vie de chaque jour? Je note que Jésus est monté à la montagne pour prier. La montagne est le lieu de la Révélation, de la présence de Dieu qui se manifeste aux hommes. Jésus est transfiguré dans sa relation à Dieu, dans sa prière. Et nous, que se passe-t-il dans notre prière?
1970-2020: Résidence Notre-Dame-de-la-Visitation, Dorval
Publié par la Société historique de Dorval.
Après une lecture lente de cet évangile, un seul sentiment naît dans mon cœur: «Personne ne peut se déclarer exclu pour Jésus.» Voilà la bonne nouvelle de ce jour. Cet homme lépreux, c’est nous. Cette maladie n’est plus du 21e siècle, mais elle veut dire toutes les maladies de l’âme et du cœur.
Cette journée mondiale a été instituée en 1992 par le pape Jean-Paul 2. Étrangement, l'évangile de ce dimanche 7 février nous parle de deux aspects importants de l'activité de Jésus: son enseignement et ses guérisons. Pour Jésus, évangéliser ce n'est pas faire de la propagande mais communiquer l'espérance fondée sur l'amour que Dieu a pour nous. Dieu nous aime, la vie a du sens, la mort n'est qu'un moment de transition, c'est la Bonne Nouvelle.
Le Cameroun célèbre le 11 février la « Fête de la Jeunesse ». C’est une journée consacrée à impliquer les jeunes de la nation dans des activités constructives, à leur inculquer l’esprit de leadership et à les inciter à participer à la culture et à la société.
De façon très impressionnante, et grâce à un excellent entretien, certains appareils de la cuisine de la Maison mère ont eu une durée de vie qui a nettement dépassé la norme. Malgré tout, il fallait absolument refaire la cuisine, car certains équipements et aspects des installations étaient vétustes.
On a donc réutilisé tout ce qu’on pouvait. C’est le cas de la hotte de cuisine, qui n’a pas été déplacée et dont les conduits ont été « rajeunis ». On a redistribué certains articles, comme des étagères, qui ont trouvé une nouvelle utilité ailleurs dans la Maison mère. D’autres, comme l’ancien four, seront donnés à des organismes qui en ont besoin et qui pourront leur donner une deuxième vie.
Voilà que depuis un mois nous avons fêté la naissance de Jésus, la sainte Famille de Jésus Marie et Joseph, sainte Marie Mère de Dieu, l’Épiphanie, le Baptême du Seigneur. Que de belles occasions pour louer, adorer, remercier. Et nous continuons de le faire tous les jours même si nous en sommes au temps ordinaire.
Le 21 novembre 2019 le pape François a demandé que ce 3e dimanche du temps ordinaire soit nommé: dimanche de la Parole. Merci au Pape François d’avoir pensé à cela. Dans les lectures de ce dimanche on parle beaucoup de suivre Jésus.
Au lieu enchanteur, tout caché derrière le tabernacle,
elle se hâte dans la joie d’un nouveau jour.
Précédée par le Maître et assurée de son amour,
sur son cœur, elle presse délicatement la broderie commencée la veille.
Avec confiance, la couleur du fil d’or la salue et la rassure.
Pour que les mystères deviennent moins mystérieux,
il faut les regarder avec un cœur vraiment nourri
de la présence de Dieu
et d’une foi à transporter les montagnes.
Le mardi 12 janvier nous fêtions l’entrée au ciel de sainte Marguerite Bourgeoys. J’avais hâte dans mon cœur de vous parler, chers paroissiens et paroissiennes, de cette femme si merveilleuse partie de Troyes, en France, pour venir ouvrir la première école de Ville-Marie (Montréal) et fonder une communauté que vous connaissez: la Congrégation de Notre-Dame.
Notre terre est en souffrance.
Ses gémissements se font de plus en plus douloureux.
Sous le nouveau mot de « Pandémie »,
notre pauvre terre se cache et pleure.
En ce début d’année 2021, qui de nous n’est pas avide de recevoir une bonne nouvelle? Voilà le cadeau qui nous est donné dès aujourd’hui: « Tu es mon enfant bien-aimé. » Dieu nous révèle notre identité, « rien ne peut nous séparer de son amour », dit saint Paul.